GREG ALLAEYS

Nom : Allaeys, avec un S et sans Z.
Prénom : Gregory mais tout le monde l’appelle Greg.
Du moins ceux qui ont son numéro de téléphone.

Profession : comédien tous terrains, 3 plateaux, 18 vitesses.
Signe(s) particulier(s) : cheveux frisés, esprit vif, corps sain. Épithètes interchangeables.

Naissance : le 30 avril 1975.
Soit 26 jours après la création officielle de Microsoft et 2 jours avant David Beckham.
Le rapport ? « Je ne sais pas, je ne comprends pas bien l’intro de cette biographie mais une chose est sûre : j’ai toujours écrit », confie Greg Allaeys.

De ses vécus de père à celui de petits-fils, d’ami ou d’enragé politique, Greg Allaeys ne peut s’empêcher de noter tout ce qui lui passe par la tête et le cœur.

Il suffit d’imaginer la tronche d’un Matthieu Almaric et la plume d’un Bertrand Cantat pour se faire une idée des personnages que le comédien campe depuis 2006 dans ses multiples expériences avec les compagnies Scratch, La Belle Histoire, Arcane XXI et la Ligue d’improvisation de Marcq en Baroeul.

Auteur reconnu par ses paires (par son père, c’est une autre histoire), Greg Allaeys est crédité en 2014 sur le disque du Simon Fache Big Backin Band pour le texte « l’armée de demains » et écrit le spectacle « deux fois rien », fait de piano de voix entremêlés, avec l’ami Jules Rude.

Et puisque nous avons tous besoin d’un jardin secret, Greg Allaeys fait appel à lui même pour accoucher en 2012 de son premier seul en scène « Des promesses, toujours des promesses », panorama sentimental, géo-politique et amical autour du thème de l’engagement.

Alors ? engagé ?